Christelle et Carole, premier arrosage partagé

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il y a 8 ans

Il devait être 19 heures et je venais de rentrer du bahut. Dehors, il faisait froid et nuit et il pleuvait. J'ôtai mon manteau et le pendis derrière la porte. Avant d'ôter mes bottines, je vis les deux petites flaques qui les entouraient. Mes pieds étaient glacés aussi. Il faut dire que je m'étais amusée à marcher dans les caniveaux en rentrant chez moi. Enfin... Chez nous, puisque je partageais l'appartement avec mon amie Christelle. Mes pensées s'égarèrent un instant en direction de cette fille adorable qui était bien plus qu'une amie pour moi. Elle était douce et gentille, mais savait aussi rire et être très drôle. Et pour tout dire, elle était à peu près aussi cinglée que moi !

Je revins à la réalité. J'étais toujours debout, dans l'entrée et j'avais toujours les pieds trempés et gelés, ce qui me donnait une forte envie d'uriner que j'avais réussi à contenir jusqu'ici. Mais là... Impossible de me retenir une seconde de plus. C'est avec un soupir de plaisir que je vidai donc tranquillement ma vessie dans mon jean (j'oublie souvent de mettre un slip le matin, surtout quand je suis à la bourre). Le tissu, très usé, buvait mon urine qui s'étalait en une large tache entre mes cuisses. Deux rigoles symétriques se frayaient un chemin sur l'intérieur de mes cuisses et de mes jambes pour finir de s'écouler dans mes bottines. Une fois le premier jet parti, il était beaucoup plus facile de contrôler la pression et la vitesse d'écoulement (désolée, on dirait un cours de physique). De cette façon, j'arrivais presque toujours à me mouiller les pieds sans trop tremper mon jean. Quel plaisir de sentir mes pieds se réchauffer ! Quand je me fus totalement vidée, je regardai le sol. Deux mares assez importantes entouraient à présent mes pieds. Impossible de dire si c'était de l'eau ou de l'urine. Probablement le mélange des deux. Je savais que Christelle allait râler si elle trouvait encore une mare par terre. Il faut dire que, question entretien de l'appartement, c'était surtout elle qui s'en occupait. Je m'assis donc dans les flaques et essayai d'en absorber la plus grande partie avec mon jean, mais je n'y parvins pas. Je m'allongeai pour bien tremper mes cuisses et mes jambes, mais ce fut encore insuffisant. Pour finir, je me roulai par terre, maculant mon pull de laine et le chemisier qui était dessous. Enfin, j'épongeai toute la mare. Mais j'étais sale et humide. Que faire ?

Mon regard se tourna vers la salle de bains. J'y courus et remplis rapidement la baignoire d'eau délicieusement chaude parfumée de mon gel de douche préféré et je m'y glissai toute habillée, bottines y comprises ! Il n'y a pas à dire, un bain, ça réchauffe ! Bien détendue, je commençai à glisser une main entre mes cuisses quand j'entendis la clé tourner dans la serrure et une voix qui cria à tue-tête :

-- Carole, t'es là ?

Je ne répondis pas tout de suite, légèrement surprise par le volume inhabituel de la voix de mon amie. Tendant l'oreille, je finis par entendre un petit chuintement rythmé. Cette gourdasse avait encore son MP3 vissé sur les oreilles et elle n'entendait rien ! J'entrouvris la porte de la salle de bains et, lorsque Christelle passa à côté, je poussai la porte sur elle et accompagnai l'attaque d'un cri perçant. Christelle poussa elle-même un cri puis éclata de rire quand elle me vit émerger de la baignoire, toute dégoulinante. Elle comprit instantanément ma blague et ôta ses écouteurs puis coupa la musique. Elle déposa son MP3 sur une chaise de la salle de bains, referma la porte puis monta dans la baignoire sans même avoir ôté son blouson. Je ris puis lui fis remarquer :

-- Tu devrais au moins poser ta carte orange sur la chaise.

Christelle sourit puis sortit quelques bricoles de ses poches et s'assit dans l'eau, provoquant un grand remous. Elle me dit :

-- Tu as eu raison de prendre un bain, ça réchauffe.

-- Je suis rentrée avec les pieds gelés.

-- Moi aussi j'avais les pieds gelés.

-- Caniveaux toi aussi ?

-- J'ai pas pu m'en empêcher...

Nos rires se mêlèrent une fois encore. Notre bain dura une petite demi-heure après laquelle l'eau avait refroidi. J'aidai Christelle à ôter ses vêtements et ses tennis trempés. Elle m'aida à m'extirper de mon pull et de mon jean moulant. Les vêtements furent abandonnés dans la baignoire et nous nous rendîmes dans notre chambre. Christelle me dit :

-- On aurait peut-être dû fermer les rideaux... Ou alors éteindre la lumière...

-- Tant pis pour les voisins, s'ils veulent se rincer l'oeil, c'est le moment ou jamais pour eux !

Après avoir enfilé un pyjama de coton, j'attrapai sous le lit une paire de tennis en toile qui me servait de chaussons. Christelle, comme ma jumelle, enfila son pyjama puis glissa ses pieds dans des tennis également. A la cuisine, le repas fut préparé rapidement puis nous mangeâmes en regardant vaguement les informations. En plein milieu d'un reportage sur le Mexique, Christelle me demanda :

-- Quelqu'un t'a déjà pissé dessus ?

Après une seconde d'hésitation due au changement de contexte un peu rapide, je répondis :

-- Moi ? Jamais !

-- Tu trouves ça crade ?

-- Ça dépend de qui j'imagine...

-- Ta petite copine ?

Impossible de dire ce qui m'arriva ensuite. Je fus prise d'une envie absolument irrépressible d'essayer ça immédiatement. Le dîner fut oublié en un instant et, main dans la main, nous courûmes vers la chambre. Très excitée, je parvins tout de même à articuler :

-- Tu commences.

Puis je m'allongeai sur le lit. Christelle dit :

-- Tu gardes ton pyjama ?

-- Je n'oserai pas me mettre nue devant toi.

Cette saillie eut pour effet de détendre un peu l'atmosphère qui devenait oppressante. Christelle vint me chevaucher et se mit à genoux, posant ses fesses sur mon ventre. Elle demanda :

-- Je commence par où ?

-- Où tu veux... Mon ventre, ma poitrine...

Christelle se concentra mais je ne sentis rien venir. Elle poussa, poussa... Sans aucun effet. Je lui fis un sourire et commençai à lui caresser les seins tendrement. Elle se laissa faire et se détendit. Soudain, je sentis sur mon ventre une sensation de douce chaleur. Dans un souffle, je dis :

-- Encore.

Christelle glissa un peu et arrosa ma poitrine puis elle redescendit pour arroser mes cuisses. Nos pyjamas collaient et je sentais mes fesses baigner dans le liquide que la couette absorbait et diffusait partout. Le pyjama de Christelle était plaqué à son corps. Au travers du coton, je pouvais voir le fin duvet qui garnissait son sexe. J'y posai les mains. Christelle se cabra. J'intensifiai mes caresses. Christelle tomba à côté de moi et prit ma bouche. Tout en nous embrassant, nous roulions l'une sur l'autre. Christelle enfourcha ma cuisse et s'y frotta en poussant des gémissements de plaisir. Se décollant de ma bouche un instant, elle cria plus qu'elle ne dit :

-- A toi !

Je la chevauchai tendrement sans lâcher sa bouche de feu et je me vidai sur elle lentement, achevant de tremper son pyjama. Nos mains couraient en tous sens, passant de nos poitrines à nos sexes. Je malaxai la belle poitrine de Christelle en pinçant ses tétons. Puis, mue par l'habitude, je posai ma bouche sur le pyjama humide. Le goût que j'y découvris m'excita encore plus. Je me mis à lécher les seins de ma compagne au travers de son pyjama trempé d'urine. Christelle me dit :

-- T'es dingue, arrête !

-- Goûte, c'est bon !

Du bout des lèvres, Christelle effleura ma poitrine moulée dans mon pyjama mouillé. Elle recommença plusieurs fois puis, d'un coup, elle couvrit mon sein de ses lèvres et se mit à sucer avidement le liquide. Le plaisir m'envahit et je portai ma main entre les cuisses de Christelle qui fit de même. Après quelques minutes de caresses que nous ralentissions à l'approche de l'orgasme, nous échangeâmes un regard et nous nous comprîmes.

Nous glissâmes silencieusement sur le lit trempé et nous installâmes en position de 69. Ma bouche vint se coller au pyjama trempé de Christelle et elle fit de même. Le ballet de nos langues mêla la salive à l'urine jusqu'à former ce mélange sucré-salé qui nous ravit depuis. En quelques coups de langue, l'orgasme vint nous cueillir ensemble et nos râles s'étouffèrent entre nos cuisses serrées. Il nous fallut plusieurs minutes pour revenir sur terre. Lentement, je me dépliai et libérai la tête de Christelle. Elle était décoiffée et son regard était brûlant. Nous échangeâmes un baiser fou puis, sans trop comprendre pourquoi, nous éclatâmes de rire. J'aidai Christelle à quitter le lit, à le débarraser de la couette trempée et à organiser un couchage de fortune pour la nuit. Puis, réalisant que nos pyjamas étaient toujours trempés, nous prîmes un bain dans l'eau que nous n'avions pas songé à vider. Elle était froide, mais c'était exactement ce dont nous avions besoin. Naturellement, nous prîmes le bain toutes habillées...

La couette fit un passage chez le teinturier qui nous coûta 27 euros ! Le 27 est resté notre chiffre fétiche ! A nous deux, nous possédons 27 jeans et 27 paires de baskets !

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